J’HONORE MA TRISTESSE
Chère tristesse,
Pardonne-moi.
Pendant longtemps je t’ai rejetée.
Aujourd’hui, j’ai compris ce que tu voulais m’enseigner.
Tu m’as fait puiser en moi des ressources insoupçonnées.
Tu m’as appris l’humilité et rapproché de mon humanité.
Tu m’as montré que je m’endormais et tu m’as réveillé.
Tu m’as permis de goûter au silence, et d’être en contact avec mes sens.
Tu m’as fait descendre dans mes profondeurs jusqu’au moment où j’ai pu sentir une douce paix intérieure.
J’ai compris que tout ce que tu voulais,
C’était m’aider à me rencontrer.
Mai-Lan Ripoche
J ai noyé ma tristesse dans un océan de bière.
Il est très dur pour moi d affronter cette émotion qui m a pourtant accompagnée toute ma vie…je cherche encore pourquoi.
Peut-être que les vidéos de Franck Lopvet et son livre peuvent t’aider (mais faut être prêt…) je te souhaite de sortir la tête de l’eau en tout cas 🙂
Toutes ces émotions sont des messages du corps et de l’esprit, elles permettent de nous exprimer par rapport à soi même et par rapport aux autres, elles sont la face emergée des sentiments.C’est facile à dire, mais il n’y a pas d’autre solution que de les accepter pour avancer, c’est un entrainement…. Accepter que l’agréable et le désagréable font partie de la vie, qu’il n’y a pas de négatif et de positif que c’est juste la vie. En prendre conscience c’est prendre du recul et se rapprocher de soi même. Voilà, j’ai aimé ce poème et te l’ai piqué pour encourager une personne proche un peu dans le mmh mmh. Plein de bonheur à tous, prenez soin de vous et vous souhaite d’être la personne la plus importante à vos yeux.
Tout à fait Thomas « accepter l’agréable et le désagréable », merci pour le partage, c’est fait pour!
merci Mai Lan
cela résonne avec justesse en moi; effectivement je me laisse rencontrer entre ma tristesse (et non « la » tristesse) et ma partie qui accueille; accueillir ce qui est.. la reconnaître lui parler accueillir est le « maître mot » alors la tristesse se transforme petit a petit en une allier .. ici c’est tristesse qui est proposée, mais colère ou autre sentiment très désagréable (ou tres agréable du reste) le processus (pour moi est le même) c’est notre (mon) besoin de sécurité qui impulse cela, écrire ceci me parait simple mais pour intégrer il ‘m aura fallu plus de 15 ans de travail et je commence juste a peine a me le reconnaître…
Merci Jean-François pour ton partage 🙂
Il y a un an, je traversais une période de tristesse et c’est grâce à cela que j’ai découvert par hasard une vidéo de toi Mai-Lan « Être content d’être triste » qui m’a libéré de choses enfouies en moi. Et j’ai appris à accueillir mes différentes émotions sans jugement. Merci . Meilleurs vœux 2019. Sylvia
Merci Sylvia de ce retour, ça me fait chaud au coeur!
Merci pour ce texte qui me semble juste , vrai , qui me touche simplement beaucoup …mais quand je lis tes mots …je me sens tellement incapable de résilience..engluée malgré tout dans la tristesse , dans la peur , dans les fausses croyances limitantes …j’ai conscience de tout mais ne parviens pas à m’extirper de cette souffrance qui m’accompagne depuis quelques années et la vie passe si vite … l’acceptation de cette état lorsqu’il dure est difficile ..malgré les lectures ,les vidéos …pour tenter de changer de point de vue changer d’attitude …
Merci pour ce texte et au delà de ce dernier , pour ton partage dans tes vidéos et tes vidéos inspirantes !!☺️!
Merci Emilie et oui comme tu le dis, on peut comprendre beaucoup de choses avec des vidéos et des livres mais de mon expérience, rien est mieux que de se faire accompagner. Seul nous avons tous des angles morts et tournons toujours dans le même sens.. 🙂
Ton texte raisonne fort en moi. Tu trouve des mots justes qui reflète également ce que j’ai vécu depuis 2017. Tu connais mon histoire m’a chère Mai-Lan Ripoche…
Quand la tristesse la plus profonde est la, on ne comprend pas ce qu’il se passe, Où l’on va, que faire pour sortir d’un cauchemar éveillé qui nous attriste dans la vie.
Mais finalement dans cette douleur, cette tristesse on se découvre des forces et capacités insoupçonnées de faire face, de se relever, d’avancer et de s’apprendre !
Dans ce mal de vie…on se découvre et c’est la que nous percevons que nous ne nous connaissions finalement pas avant cette tristesse survenue dans notre vie.
Il faut apprendre à accueillir la tristesse pour grandir de soi…c’est aussi cela la vie, accepter d’être au plus bas pour vivre un après autrement.
Et toi Mai Lan, Tu es l’une de ces personnes qui a croisé mon chemin de l’après et qui m’a aidé par ton expérience et ta mission de vie. Une rencontre de vie inscrite dans la mémoire mon Être!
Et cela est divinement sacré et touchant!
🙂
Ton texte raisonne fort en moi. Tu trouve des mots justes qui reflète également ce que j’ai vécu depuis 2017. Tu connais mon histoire m’a chère Mai-Lan Ripoche…
Quand la tristesse la plus profonde est la, on ne comprend pas ce qu’il se passe, Où l’on va, que faire pour sortir d’un cauchemar éveillé qui nous attriste dans la vie.
Mais finalement dans cette douleur, cette tristesse on se découvre des forces et capacités insoupçonnées de faire face, de se relever, d’avancer et de s’apprendre !
Dans ce mal de vie…on se découvre et c’est la que nous percevons que nous ne nous connaissions finalement pas avant cette tristesse survenue dans notre vie.
Il faut apprendre à accueillir la tristesse pour grandir de soi…c’est aussi cela la vie, accepter d’être au plus bas pour vivre un après autrement.
Et toi Mai Lan, Tu es l’une de ces personnes qui a croisé mon chemin de l’après et qui m’a aidé par ton expérience et ta mission de vie . Une rencontre de vie inscrite dans la mémoire mon Être!
Et cela est divinement sacré et touchant !
Éphémère, de passage, mais prégnante lorsqu’elle fait irruption ; la tristesse est un véhicule du passé ! Un train à vapeur qui siffle, crache et arrache les bons et mauvais souvenirs de votre mémoire en vous ramenant les êtres chers qui ont jalonné votre vie ! En vous quittant, la tristesse vous invite à poursuivre votre parcours, aguerri et renforcé du voyage intérieur qu’elle vient de vous faire vivre !
Belle métaphore Franck 🙂
Le plus compliqué lorsque l on fait face à de la tristesse de la peur de la souffrance c est d accepter ces emotions et de ne pas lutter…accepter et observer…facile à dire mais tellement vrai..merci pour ce beau texte..
Oui c’est sûr que le plus difficile est de se laisser traverser par l’émotion
Éphémère, de passage, mais prégnante lorsqu’elle fait irruption ; la tristesse est un véhicule du passé ! Un train à vapeur qui siffle, crache et arrache les bons et mauvais souvenirs de votre mémoire en vous ramenant les êtres chers qui ont jalonné votre vie ! En vous quittant, la tristesse vous invite à poursuivre votre parcours, aguerri et renforcé du voyage intérieur qu’elle vient de vous faire vivre !
Pour moi c’est comme la pluie qui dure plusieurs jours, tu ne peux pas y faire grand chose à part t’abriter et attendre que ça passe. Concrètement quand ça m’arrive j’essaie de passer plus de temps avec ma famille et à l’extérieur surtout. Une petite sortie running connectée à la nature peut également aider.
Merci Stéphane pour ton retour d’expérience
Chère Mai-Lan
La tristesse et moi, on ne se fréquente pas vraiment. Mais la « solitude » ça je connais! Très jeune je me sentais pas comprise par ma famille, je voyais déjà ma vie autrement qu’eux,je sentais ma collection avec l’univers et enfant je contemplais son immensité et je n’étais jamais insécure, mes parents l’étaient. J’ai perdu plus tard cette vision. Me pensant rejeter, j’ai renoncer à ce que je ressentais pour me rapprocher d’eux et je ne savais plus qui j’étais.Cette solitude m’as isolée des autres une fois adulte. Aujourd’hui dans ces moments de solitude, je remercie le monde divin pour m’avoir donner ce repert très jeune…c’est là mon bonheur, ou je trouve mon refuge. Je ne recherche plus la compagnie des autres à tout prix, j’aime revenir à mon refuge, ayant beaucoup souffert de ma décollection d’avec ma source. En me mettant au niveau de l’autorité parentale pour être aimer,je me trahissais, ma vie était devenue sans aucune profondeur.Et cette nouvelle vision superficielle de la vie m’avait fait perdre confiance en moi pendant ma vie adulte. Je ne comprenais pas le sens de cette vie. « J’étais une enfant joyeuse et aimante avec des pouvoir auquel j’avais renoncer ». Mais aujourd’hui je nourrie cette enfant pour la guérir et je la protège du monde extérieur. Le chemin est rugueux, mais je recois beaucoup d’aide. Dès que je sens un vide je remercie et ça me permet de garder mon humilité et ma réelle nature avec la Source. Je suis consciente combien il est important de remercier souvent la vie pour tout ce qu’elle me donne. « Mai-Lan je te souhaite le meilleur sur ton chemin de vie pour cette nouvelle année et que la lumière soit toujours en toi et devant toi. »
Merci beaucoup Jackie pour ton témoignage et tes vœux 🙂
je connais cette apathie qui vous envahie et vous laisse ko .Je suis en mode » huitre » me sentant agressée un peu de partout . Mais je me suis toujours relevée et encore je me relèverai , je connais mes capacités . Aujourd’hui , j’ attends la paix intérieure . Je me sentais coupable et je culpabilisais face à une situation ; mais des explications me sont venues aux oreilles et s’ en m’apaiser , le calme reviendra petit à petit . Toujours une petite lumière me guidera vers mon MOI
🙂
Ola Mai-Lan…
Il est difficile d’honorer la tristesse dans notre culture occidentale. On a peur de dévoiler nos douleurs, nos « défaillances de système ». On se cache arrière une tête haute, une attitude droite, mais au plus profond on veut juste se laisser aller, lâcher prise, se dénuder. Comment peut-on le faire sans regretter tout de suite l’absence des « histories instragraniennes », les photos tout sourire de FB?
Moi, je pleure même en regardant une promo de Pampers, mes enfants me regardent comme si j’étais un martien récemment arrivé…Oui, papa peut pleureur aussi bien que sourire.
Ma conjointe, ayant grandie dans une culture « macho latino », lance un regard de pitié… »Pauvre Fabio! », Pendant des années moi aussi j’ai englouti, j’ai avalé, j’ai mâché mes larmes de joie ou de tristesse. Maintenant, je m’en fous carrément.
Demain, je ne veut nullement être enterré 7 pieds sous-terre en laissant aux autres de dire pour qui, quand, où j’ai honoré mes tristesses, mes joies.
Merci pour ce magnifique témoignage Fabio!
Ma tristesse me colle à la peau à l’âme au Cœur, depuis un bon moment, elle me pousse à m’améliorer à chercher la vérité à être responsable à avoir le respect honorable…..
Bonsoir
Ma tristesse m’a fait comprendre a quel point je m’avais négligée a quel point j’avais ete « éponge » jusqu’a oublier d’avoir mis le recul nécessaire pour ne pas me prendre aux jeux des autres a les assimiler comme etant les miens!
C’etait mon chemin c’est pour cela que je ne regrette rien en tout cas j’essaie.
Je sais que chacun fait au mieux de ses possibiltes.
Ma tristesse m’a fait revenir a moi et ce faisant j’ai pu contacter plus de joie et de paix interieure.
j’apprends a etre moins dependante plus autonome en moi meme a m’apporter ce dont j’ai besoin et amoins l’attendre des autres.
Derriere la tristesse, jes ais la joie presente donc je ne la fuis pas j’attends patiemment qu’elle se libere et se calme en moi .
Merci beaucoup Pascale pour ce partage 🙂
C’est exactement ça.
Je suis passé par des mois de dépression et de tristesse…englué là-dedans. Puis à un moment, j’ai commencé à agir pour en sortir. Et depuis, je vois les choses différemment…plus sereinement, un petit plus libéré, conscient…et surtout après une grosse quinzaine d’années en mode robot, je commence à ressentir la Vie et à l’expérimenter. Sans cet épisode, je serai encore en mode robot (boulot-maison-grisaille-TV).
Super Joel, merci pour ce témoignage 🙂
Il est vrai que tristesse, souffrance ou encore échec peuvent s’avérer utiles pour mieux appréhender ce qui importe vraiment.
A condition bien sûr de sortir de cet état ou de cette situation. L’important est donc de se recentrer à ces moments là sur les valeurs essentielles.
Ce peut être l’opportunité de prise de conscience et de renouvellement bénéfique dans son existence.
Exactement Olivier 🙂
Très touché par ce message. Cette tristesse est une forme du V.I.T.R.I.O.L.(phrase latine) rencontré ailleurs.
Elle permet de faire une pause et de se retrouver, en effet.
Puis rebondir et respirer.
Tout à fait Bruno 🙂
Très touché par ce message.
🙂
J’ai goûté une fois à la paix et à la confiance après une grande tristesse lié à mon divorce. J’en suis ressorti confiant en la vie, je crois avoir eu à ce moment là et pendant un bref instant un éveil de la conscience en moi, une connexion avec la vie.
🙂
Très beau texte, plein de vérité. Celle ci doit rester éphémère (bien que l’on oublie rien !!!)
Mais il est vrai qu’en étant confronté à celle-ci, elle nous fait (re) découvrir des notions, des ressources, des sentiments que l’on ne soupçonne pas. On n’en sort que « plus grandi »
La tristesse est un ressenti qui(de toute façon) fait partie de la vie.
Chacun l’a vit différemment, plus ou moins longtemps, de façon plus ou moins forte
Oui pour ma part, j’en sors souvent grandie et renforcée
Je ne sais pas l’honorer…ces derniers temps elle est là bien présente et les larmes coulent facilement. Même si je sais qu’il faut être à l’écoute de ses émotions je suis en même temps agacée de ressentir cette tristesse et de pleurer chaque jour. De me sentir si fragile…j’ai du mal à l’accepter moi qui était armée des meilleures intentions pour moi , de multiples projets en tête. Et la je me retrouve bloquée. Je lutte quand les larmes montent et je m’auto réprimande. Ainsi je me rends compte que j’ai beau dire aux gens qu’il est salvateur de pleurer et de libérer ses émotions, de mon côté je ne sais toujours pas comment faire et j’ai presque honte de ressentir cette tristesse. Et plus je résiste plus elle est là. Voilà de te l’écrire déjà ça débloque un peu. Merci Mai-Lan
Du coup tu as ta réponse Isabelle. Permets-toi de la vivre et elle sera libératrice 🙂 Courage
qu’il est bon de lire ce texte juste quand j’apprends que ma cousine de 24 ans a un cancer et que je pleure… Gratitude
De tout coeur avec toi Nicolas 🙂