Comment avoir le moral à 0 à coup sûr : mes astuces

Comment avoir le moral à 0 à coup sûr : mes astuces

Le mois de novembre est réputé pour être le mois le plus morose de l’année.

Du coup, je me suis dit que pour être dans la tendance, j’allais vous donner les meilleures astuces pour avoir le moral en berne.

  • Regarder les actualités en continu : mettez BFMTV en fond sonore toute la journée. Normalement ce soir, vous devriez vous dire que le monde va vraiment mal et être dégoûté par l’humanité.
  • Passez votre temps à ruminer le passé et à bien ressasser les coups bas de cette vie injuste, depuis votre enfance jusqu’à votre ex.
  • Passez du temps sur les réseaux sociaux pour vous comparer à ceux qui donnent une image de leur vie parfaitement lisse et instagrammable. Si tout va bien, vous devriez sentir que votre vie est vraiment pourrie.
  • Ne sortez surtout pas en nature, ça pourrait vous faire du bien.
  • Ecoutez de la musique mélancolique ou du hard core.
  • Manger très gras, très sucré et très salé.
  • Faites de votre mieux pour ne jamais exprimer ou reconnaître vos émotions. Enfouissez-les profondément à l’intérieur de vous jusqu’à ce qu’elles disparaissent miraculeusement. Ou regarder une série violente sur Netflix pour être dans le déni. Parait que ça marche bien aussi.

Et toi, tu rajouterais quoi à cette liste ? Fais-moi rêver.

🧘‍♀ Et si jamais vous aspirez à plus de paix et que vous avez conscience qu’elle ne se trouve que dans le moment présent, vous pouvez toujours suivre mon petit programme de méditation de pleine conscience à 47 euros.

10 petites leçons pendant 10 jours (accessibles à vie) pour intégrer la pleine conscience dans votre quotidien de manière simple et ludique.

Mai-Lan

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Le chemin le plus court pour lâcher le mental (pour moi)

Le chemin le plus court pour lâcher le mental (pour moi)

Si vous me suivez, c’est que j’imagine, vous êtes vous aussi sur un chemin de conscience.

Et peut-être  que comme moi, vous n’en êtes pas à votre premier livre de développement personnel, stage, thérapie, retraite, soin énergétique, etc…

A travers tout cela, que recherche t-on au fond ?

La paix.

Or, quel est le plus grand obstacle à notre paix intérieure ?

Non, pas notre ex. 😂

Notre mental.

Ce petit hamster qui tourne en boucle dans notre esprit, qui nous happe hors du moment présent, dans un passé qui n’existe plus ou un futur qui n’existe pas encore.

Or, la paix ne peut être que maintenant.

Il n’y a pas d’autre moment que maintenant.

Moment après moment.

Tout le reste n’est que projection du mental. Ce n’est pas la réalité.

Le seul moment vivant est maintenant.

Vous avez certainement déjà fait de la méditation assise et vous savez comme moi à quel point lorsqu’on se sent agité, à quel point il est difficile de rester focus sur cet instant présent.

Le corps est immobile mais l’esprit est agité.

Lorsque j’ai découvert la Danse de l’Être, j’ai découvert une voie beaucoup plus directe pour moi pour calmer mon mental et goûter au silence intérieur.

Mon attention se porte sur les sensations du corps, le ressenti, le mouvement. Mon mental a donc un objet d’attention autre que les pensées.

Pour les personnes qui sont beaucoup dans le mental, la danse est une des meilleures méditations qui soit. 

Une méditation en mouvement.

L’approche que je propose ne consiste pas à juste se défouler, mais mettre de la conscience sur le corps en mouvement et sur ses messages.

Remontent alors des émotions refoulées, des parts de soi qu’on n’a jamais vraiment écouté qui remontent à la surface dans le mouvement.

Comme un vortex qui fait tout remonter.

Et si ça remonte, c’est que c’est prêt à être vu, traversé et transmuté. 

De cet espace, découle une profonde paix intérieure. Issue d’une libération.

Mais il n’y a pas non plus que des choses désagréables qui remontent !

Il y a aussi notre joie, notre puissance, notre créativité qui poussent…

Bref tout ça ne sont que des mots pour exprimer quelque chose qui pourraient s’en passer.

En tout cas, si ces quelques mots vous parlent et titillent votre curiosité, je vous invite à me rejoindre au prochain cycle Danse Intérieure, si vous souhaitez être informé de la prochaine session inscrivez-vous à ma ma newsletter ici.

De tout coeur,

Mai-Lan 💮

Une facette de moi que vous ne soupçonnez sûrement pas…

Une facette de moi que vous ne soupçonnez sûrement pas…

On me voit souvent comme quelqu’un de drôle.


Certes j’aime rire et faire rire et j’ai le rêve secret de faire un one woman show spirituel un jour.
(Là de suite, c’est moins secret on est d’accord 🤭).


Et j’avoue que je suis ma première fan : je rigole toute seule comme une dinde à mes propre blagues.
Je sais c’est chelou…
Une dinde qui rigole; personne n’a jamais vu ça.
Bref.


Mais pour être honnête, si j’ai autant d’humour, c’est pour m’éviter de pleurer et de sombrer dans le désespoir 😅.
Si vous saviez à quel point je me prends le chou au quotidien pour des broutilles, à quel point je peux être lourde et pesante, à quel point je suis contrôlante et jugeante (#couple).
A quel point je râaaaaaale.


Je me juge énormément et j’ai souvent l’impression de ne pas être assez « éveillée/ consciente/ spirituelle/ sage/ accueillante /bienveillante »… blablabla.
Je m’en veux souvent de ne pas avoir cette légèreté dans ma vie perso que j’ai dans mon boulot et sur les réseaux sociaux.


Pourtant, je n’ai pas l’impression de « jouer » un rôle, j’écris la plupart du temps avec un élan spontané et je ne le fais pas pour donner une « certaine image » de moi.


D’ailleurs si je partage tout ça, c’est parce que je suis toujours mal à l’aise quand on a justement une « certaine image » de moi : drôle, douce, bienveillante, profonde, humble, etc.


Je le suis oui.
EEEEET je suis aussi touuuut l’inverse dans les mêmes proportions ! 🫣


Vous voulez un exemple concret ?
Il y a quelques mois j’ai failli me battre sur un parking de supermarché bio avec une femme qui m’avait manqué de respect. J’étais à deux doigts de l’emplâtrer.  🫢😅


Je suis calme mais faut pas me chauffer. 


C’était un p’tit exemple si vous aviez tendance à me mettre sur un piédestal. 😂


J’ai le meilleur et le pire en moi.😇👿


Mai-Lan

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Qui es-tu vraiment

Qui es-tu vraiment

La semaine prochaine je m’en vais pour me rappeler…

Je pars pour une retraite intensive de 3 jours.

Dès mon arrivée, mon téléphone sera confisqué. Pas de montre. Pas de livre. Pas de carnet. Repas légers 😒

Tous les repères retirés.

3 jours à répondre à une seule et unique question : 

QUI SUIS-JE ?

(Ceux qui ont vu ma conférence Se choisir, ça vous rappelle quelque chose ? 😅)

En effet, j’ai fait cette retraite la première fois en 2017 (pendant 5 jours) et ça a été mon premier gros éveil de conscience.

J’ai passé une journée à avoir envie de vomir, une autre à crier et pleurer toute la douleur du monde, puis « foudroyée » à l’avant-dernière journée.

J’ai dû passer près d’une heure à pleurer et rire en même temps agenouillée au sol, le visage remplie de larmes, les yeux levés au ciel à dire 

« MERCI, MERCI, MERCI ».

Difficile d’y mettre des mots mais ce qu’il me reste, c’est cette ENORME réalisation que TOUT est AMOUR. 

Que nous sommes aimés par la vie/la présence divine, de manière inconditionnelle.

Que la vie ne nous demande ABSOLUMENT RIEN !

Pas de devenir une meilleure personne. 

Pas d’être « quelqu’un de bien ».

Nous sommes aimés tels que nous sommes, peu importe nos actes.

J’ai réalisé que nous étions tous des enfants qui avaient oublié qu’ils étaient venus sur terre pour jouer et qu’ils avaient oublié qu’ils jouaient des jeux de rôles.

J’ai réalisé que le théâtre de la vie n’était pas sérieux.
J’ai compris que tout ça était une grande blague cosmique.

(Et c’est pour ça que les « éveillés » ont souvent ce regard malicieux et beaucoup d’humour, parce qu’ils ne se prennent plus au sérieux !).

Quand ça m’a foudroyé, mon corps n’a pas su réagir autrement que rire et pleurer en même temps.

D’amour. De gratitude.

Cela fait 6 ans maintenant et j’ai cheminé depuis.

Sauf que cette réalisation, même si elle m’a laissé des traces indélébiles, s’estompe dans ma vie au quotidien.

Et je veux me souvenir…

Alors la semaine je pars pour me rappeler de QUI JE SUIS vraiment.

De ma véritable nature.

Je vous souhaite de vivre cette expérience au moins une fois dans votre vie, de goûter et ressentir cette AMOUR que nous cherchons tous et qui est sous notre nez.

Euh non. Pas sous notre nez en fait.

Nous sommes cet AMOUR.

Ce n’est pas quelque chose à « comprendre ».

Ca se réalise.

C’est un (r)éveil. 

Alors, qui es-tu vraiment ?

Qui dit « JE » ?

Mai-Lan 💮

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Au final ce qui reste, c’est…

Au final ce qui reste, c’est…

Cet été, je suis partie un mois en Sicile.

Première fois de ma vie que je m’accorde un mois TOTALEMENT OFF sans ouvrir mon ordinateur.

(Bon ok, j’ai triché j’ai mes mails sur mon téléphone. 🤭)

Lors de ce séjour en Sicile, ce qui m’a le plus marqué, ce sont les rencontres que nous avons faites avec Pierre.

(Sachant que cette première position se fait largement concurrencer par les pastas, pizzas et les brioches con gelato 🍕🍦🥴 #bodysummer-is-out)


Et les gens qui me touchent le plus sont les gens les plus simples.


D’abord les retrouvailles avec mon amie Maria, dans la plus grande simplicité et la joie de se retrouver dans un petit village perché de la Sicile puis sur la magnifique île de Stromboli pour danser au clair de lune au rythme du vent et du volcan (que j’ai vu en éruption 🌋).

Puis Martia qui nous demande de rester plus longtemps avec Pierre dans son B&B « parce qu’elle va pleurer quand on va partir« .
Nicole la dame du petit déjeuner à qui nous avions appris la cuisson parfaite de l’oeuf à la coque et qui pourra désormais impressionner les futurs visiteurs.

Luigi à Agrigento, qui au départ me semblait distrait, voire distant mais qui, progressivement dans nos sourires et nos échanges simples, a compris que nous avions compris… que c’était sa maman handicapée que nous entendions crier toute la journée (parfois à la limite du supportable pour moi).


A notre grande surprise, lors de notre départ, il nous a offert du limoncello et de la marmelade maison à la mandarine en nous demandant plusieurs fois de rester plus longtemps « parce qu’on était super gentils ».
J’ai failli pleurer.


Et puis Francesca, la dame du petit déjeuner qui tenait absolument à me faire le meilleur cappuccino au lait d’amande le matin, qui malgré la chaleur intense et son travail, avait toujours le sourire et une petite attention.


Il y a eu ensuite Fabrizio, ce portugais DJ à l’année qui venait faire la saison ici pour trouver l’inspiration en s’occupant des plantes et des clients au petit déjeuner, toujours le sourire scotché aux lèvres et dans les starting-blocks pour nous servir le café.


Manuella, la dame qui faisait le ménage avec qui je sentais de l’affection partagée dans nos brefs échanges et nos sourires complices.
Et tant d’autres…

C’est sûr que nous avons laissé une petite trace à ces gens.
Je crois, tout simplement parce qu’ils se sont sentis « vus et considérés ».


Et c’est sûr qu’ils m’en ont laissé une aussi.

Celle de la pureté du coeur.
Celle qui laisse des traces indélébiles. 💓

Et je me suis rendue compte qu’au final, ce qui reste après notre passage, c’est la trace qu’on laisse derrière soi.

Nous entamons le dernier quart de l’année qui marque la fin d’un cycle, 

un retour progressif à l’intérieur, à l’introspection, au bilan.

Le moment de regarder ce que l’on a semé en soi et autour de soi depuis le début de l’année.

Et se demander : quelle trace j’ai laissé derrière moi ?

Mai-Lan 💮

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